Résumé :
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Bobin s’en est allé dans l’immanence bienheureuse qu’il savait si bien nous dévoiler, tirant le voile terne de la réalité sur la beauté des petites choses poétiques cachées en coulisse. Comme testament, nulle dernières volontés arrachées dans un dernier râle, aucune colonne de chiffres à accompagner dans de nouveaux enclos bancaires. Fidèle à lui-même, l’immense Bobin nous laisse quelques mots endimanchés pour affronter la vacuité de la modernité, ses hordes d’assoupis en marche vers on ne sait où. On découvre,..
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